- EAN13
- 9782246834830
- ISBN
- 978-2-246-83483-0
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 26/04/2023
- Collection
- Littérature française (1)
- Nombre de pages
- 160
- Dimensions
- 18,5 x 12,3 x 1,5 cm
- Poids
- 156 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
-
17.00
Autre version disponible
« Quand le malheur nous prend pour cible, il faut parvenir à se souvenir qu’on a goûté à la douce, à l’ineffable joie. Tu resteras mon plus beau voyage, abordé sans guide, les yeux fermés. Ta présence et ton absence convergent dans mon cœur. Je sais désormais que je pourrai toujours te trouver en moi. Ceci est à nous. »
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé sauf quand cet être s’appelle Gaspard Ulliel, qu’il est un acteur mondialement connu, fauché dans un accident de ski à 37 ans. Gaëlle Pietri s’adresse à l’homme qu’elle a aimé. Lorsque Gaspard s’effondre dans la neige, ils viennent ensemble de fêter les six ans de leur fils Orso. C’est pour lui qu'elle raconte. Les premiers instants partagés, l’amour, la séparation, la douleur et la colère face à la perte, fragments de vie dans lesquels il pourra retrouver son père quand il le voudra.
Dans la lignée des plus beaux textes sur le deuil de Rilke à Didion, Gaëlle Pietri nous livre son premier récit, lettre poignante d’une implacable honnêteté sur le chagrin le plus indicible et la rédemption par l’écriture.
Un seul être vous manque et tout est dépeuplé sauf quand cet être s’appelle Gaspard Ulliel, qu’il est un acteur mondialement connu, fauché dans un accident de ski à 37 ans. Gaëlle Pietri s’adresse à l’homme qu’elle a aimé. Lorsque Gaspard s’effondre dans la neige, ils viennent ensemble de fêter les six ans de leur fils Orso. C’est pour lui qu'elle raconte. Les premiers instants partagés, l’amour, la séparation, la douleur et la colère face à la perte, fragments de vie dans lesquels il pourra retrouver son père quand il le voudra.
Dans la lignée des plus beaux textes sur le deuil de Rilke à Didion, Gaëlle Pietri nous livre son premier récit, lettre poignante d’une implacable honnêteté sur le chagrin le plus indicible et la rédemption par l’écriture.
S'identifier pour envoyer des commentaires.