- EAN13
- 9782264076649
- ISBN
- 978-2-264-07664-9
- Éditeur
- 10-18
- Date de publication
- 10/2020
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 285
- Dimensions
- 17,8 x 10,9 x 1,9 cm
- Poids
- 166 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Libre, provocante, révolutionnaire, qui était vraiment Margaret Sanger ?
« Le devoir d’une femme : regarder le monde bien en face, avec une lueur infernale dans les yeux ; avoir un idéal ; parler et agir en dépit de toutes les conventions. » Telle était la philosophie de Margaret Sanger, et telle a été sa vie.
Élevée dans un milieu pauvre, par un père libre penseur et une mère épuisée par treize grossesses, Margaret se fait très jeune le serment de ne jamais subir la vie d’une femme au foyer. Devenue infirmière, elle se marie, a des enfants, mais ne renonce à aucune de ces libertés scandaleuses qui vont devenir sa marque de fabrique. Dans une société où la contraception est illégale, elle décide de se consacrer aux femmes et met sur pied en 1916 la première clinique clandestine de contrôle des naissances. C’est le premier pas d’une vie de luttes enfiévrées qui la conduiront à créer en 1952 le planning familial, puis de militer pour la légalisation de la pilule. Contrainte de fuir son pays, c’est en Angleterre et en France que Margaret, toujours aussi indomptable et provocante, poursuivra son inlassable combat pour l’égalité des sexes.
« Le devoir d’une femme : regarder le monde bien en face, avec une lueur infernale dans les yeux ; avoir un idéal ; parler et agir en dépit de toutes les conventions. » Telle était la philosophie de Margaret Sanger, et telle a été sa vie.
Élevée dans un milieu pauvre, par un père libre penseur et une mère épuisée par treize grossesses, Margaret se fait très jeune le serment de ne jamais subir la vie d’une femme au foyer. Devenue infirmière, elle se marie, a des enfants, mais ne renonce à aucune de ces libertés scandaleuses qui vont devenir sa marque de fabrique. Dans une société où la contraception est illégale, elle décide de se consacrer aux femmes et met sur pied en 1916 la première clinique clandestine de contrôle des naissances. C’est le premier pas d’une vie de luttes enfiévrées qui la conduiront à créer en 1952 le planning familial, puis de militer pour la légalisation de la pilule. Contrainte de fuir son pays, c’est en Angleterre et en France que Margaret, toujours aussi indomptable et provocante, poursuivra son inlassable combat pour l’égalité des sexes.
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